≡ never trust a duck.

pia redwyne

23 ans • 29 février 1991 • animatrice radio • célibataire • $$$$$ • hometown heart-shaped

when i was young, it seemed that life was so wonderful
a miracle, it was beautiful, magical
(

tumblr/supertramp)

Nom, prénoms : Redwyne. Un patronyme plutôt courant de nos jours mais qu'elle doit avant tout a son paternel comme ce dernier avant elle. Olympia Eve Redwyne, c'est ce que vous pourrez lire sur son acte de naissance, rien de plus et rien de moins. Surnoms : Il en résulte du diminutif de son prénom de naissance à savoir Pia. C'est court en soi et passe partout finalement. Date de naissance et âge : Native de la fin du mois de février, soit le vingt-neuf février. Une date quelque peu particulière. Elle est actuellement âgée de vingt-trois années, la majorité désormais révolue depuis quelques années déjà. Lieu de naissance et nationalité : Citoyenne américaine, elle est originaire de la ville même qu'est Phoenix (Arizona). Origine : Bien que les sources américaines du coté de son père sont très présentent, il n'en demeure pas moins que les racines italiennes de sa figure maternelle le sont tout autant. Niveau d'étude : Obtention de son diplôme a la fin du lycée, elle est détient un diplôme - d'études supérieures - en communication qu'elle a d'ailleurs obtenue avec brio. Métier ou/et études : Elle est actuellement animatrice de radio où elle est à la tête de sa propre émission qui depuis quelques mois est l'une des plus suivies. Pour le plaisir ou bien pour rendre service, il lui arrive de tenir le rôle de DJ dans certains bars et boites. Statut monétaire ($) : $$$$$ Orientation sexuelle : Hétérosexuelle, la gente masculine aura toujours la préférence de la brunette. Statut civil : Célibataire. Un statut qui ne se cesse de se renforcer avec les le temps qui s'écoule. Un passé qui la rend quelque peu hostile à l'engagement peu importe sa forme et son contenu Traits de caractère : Déterminée, obstinée, honnête, songeuse, amusante, touchante, communicative, spontanée, réfléchie, enjouée, optimiste, peu sportive, (...) Groupe : Hometown heart-shaped.

☼ think you're all about me, but i'm all about you

Fille unique, elle n'a jamais particulièrement souffert de l'être ce qui explique sans le moindre doute combien elle porte l'amitié en haute estime. La confiance et la tolérance sont pour elle des valeurs importantes dans ses relations amicales. ■ Bien qu'elle ait de nombreuses fois voyagé durant son enfance, elle n'en demeure pas moins qu'elle reste très attaché à Phoenix, témoins de tant de souvenirs. ■ Entre un père chirurgien en neurologie et une figure maternelle journaliste, la passion du domaine professionnel est un trait héréditaire. La complicité père-fille qu'il existe chez les Redwyne s'explique par les nombreuses absences de sa mère dû à son métier. Elle ne lui en jamais voulu cependant. ■ Son humour à deux sous, à la blague dites carambar sait adoucir les mœurs tout en amusant la galerie. Pour elle, le ridicule ne tue pas le principale étant de s'amuser, de profiter de l'existence et de s'en donner les moyens. ■ Commencer une bonne journée, débute avant tout par une bonne tasse de chocolat chaud le tout aromatisé par un soupçon de cannelle. Ne lui parlait surtout pas de caféine car bien qu'elle apprécie son arôme et sa senteur, elle en a totalement horreur. ■ Aussi gauche que ses pieds ? Sa maladresse est souvent porteuse de bonnes choses mais également synonyme de gaffes et d'erreurs. Ces dernières elle les reconnaîtra toujours si elle à tort, en revanche ne comptait pas sur elle pour si le cas est contraire. ■ Son véritable prénom de baptême est Olympia, mais depuis sa plus tendre enfance l'ensemble de ses proches et de son entourage la surnomme Pia. ■ Son meilleur ami est l'une des personnes dont elle est le plus proche depuis toujours. Complicité amicale presque fraternelle, ils sont sortis ensemble durant presque cinq années. Une période qui figure parmi les meilleures quand bien même ils sont aujourd'hui séparés. Elle est l'une des premières à avoir constaté l'attirance de Jem pour les hommes. Séparés certes, mais leur amitié n'en demeure que plus solide et forte à la fois. ■ Elle possède une certaine dextérité linguistique, une facilité de communication qui renforce son accès au dialogue avec autrui. Elle parle l'italien et le japonais sans le moindre problème. ■ Atteinte d'un asthme particulièrement aigu depuis sa naissance, la brunette suit régulièrement un traitement qui nécessite une certaine hygiène de vie et un donc un suivi médical quelque peu soutenu. ■ Détentrice d'un diplôme en communication, son job d'animatrice radio lui procure un bien être et un épanouissement personnel plus que grandissant. Elle détient depuis peu par ailleurs sa propre émission de radio, un début prometteur qui la pousse davantage. ■ Passionnée par la musique, elle apprend la pratique de la harpe et de la guitare alors qu'elle est encore toute jeune. Un rythme de musique qu'elle partage à l'occasion lorsqu'elle mixte en tant que DJ au sein de certaines soirées. ■ Bien qu'elle soit la première a être des plus optimiste et ouverte, sa peur de l'engagement ne cesse de grandir. Elle met dès lors ce sentiment de coté afin de privilégier l'amitié plus que tout autre chose. Elle fuit tout lien et sentiments impliquant la raison du cœur. ■ Si la gourmandise est un vilain défaut, elle ne sera pas la première à se ranger à cette raison bien au contraire. Gourmande dans l'âme, elle ne dit jamais non à un bon repas, à un bon restaurant et n'hésite pas du tout à goutter ce qui lui est inconnu. Peu douée en art culinaire, elle ne se débrouille pas trop mal en ce qui concerne les plats italiens sans doute l'ombre de ses gênes italiens. ■ Elle adore les films humoristiques et les films d'époques en particulier ceux des années soixante. ■ Elle depuis peu en colocation, une expérience qu'elle ne regrette pas le moins du monde. ■ Loin d'être aussi agile qu'une funambule sur un fil, son image prendrait plutôt la forme d'un ours sur un ballon. Elle n'est pas sportive pour un sous c'est le moins que l'on puisse dire. Pour autant, elle est plutôt douée en ce qui concerne de se déplacer à roller. Une controverse plutot amusante et contradictoire lorsqu'on la connaît bien. ■ Elle une peur bleue des canards. Un cauchemar à plumes et sur deux pattes, une réalité de souvenirs qui remonte à sa petite enfance.

chasing the sun:

Tes deux mains s'activent à hacher minutieusement le dernier poivron rouge, une couleur qui te rappelle combien l'été ne tardera pas. La chaleur des rayons du soleil qui s’infiltrent par la fenêtre ouverte réchauffent quelques peu la cuisine alors que l'humidité de la matinée commence à s'évaporer. L'odeur de la pluie reste subtile, presque agréable. La voix du chanteur de U2 s'élève harmonieusement dans la pièce, ton corps suivant un mouvement rythmique, entraînant. Minutieuse, tu restes prudente afin de ne pas te couper ce qui la première des choses qui pourrait mal finir cette journée qui avait déjà commencée sur les chapeaux de roues. Une réunion pour le travail qui avait virée au désastre, des enchaînements d'examens médicaux par florichons en soi, des vacances que tu avais posé mais qui mettait à mal la radio … La seule chose qui avait quelque peu amélioré ton humeur était la perspective d'un bon plat italien. Des saveurs qui ont le goût de ton enfance, des plats de cuisine qui mijotent sur le feu alors que ta grand mère prépare une gourmandise sucrée. Tu verses le contenu de ta planche à couper dans le saladier, t'essuie les mains alors que ton cellulaire vibre sur le plan de travail tel un bourdon mécontent et râleur. Tu m'évites Olympia, il faut qu'on parle ! Un message écrit plutôt claire et lourd auquel tu ne répondras pas, comme tu l'as fait avec tous ses autres messages. Connor avait été patient et compréhension ces dernières semaines, cherchant ton attention et non pas créer de la précipitation pour régler une situation. La votre qui était on ne peut plus compliqué et par dessus le marché le jeune homme tenait à jouer cartes sur table. Une fraction de secondes, un ressentiment de panique et de déni t'envahit mais cette sensation subsiste et perdure dans le temps. Mettre un voile sur la réalité était un moyen fort efficace pour nier l'évidence, du coté du jeune musicien on en était loin. Tu soupires rien qu'en imaginant à demi mot la discussion que vous pourriez avoir et que tu espérais ne jamais avoir. Cependant, tu sais également que tu ne pourrais pas toujours l'éviter. De coutume animé, l'appartement que vous partagiez avec Enoch était clairement silencieux et tu regrettes qu'il soit du soir pour son boulot. La sonnerie de l'interphone résonne suite à trois coups bref avant de s'arrêter. Mélodie de code dont la traduction signifiait clairement : Jem me voilà ! Tu lèves la tête en direction de la porte d'entrée qui s'ouvre quelques minutes plus tard sur le visage radieux de ton meilleur ami. « A journée horrible les grands remèdes ma grande ! ». S'exclame le brun tout sourire avant de refermer la porte d'un coup de pied. Deux paquets de courses en main, il s'arrête un instant aux abords de la cuisine tout en reniflant l'odeur qui s'en dégage. Levant les yeux au ciel, tu ne peux t'empêcher de sourire d'un air mi amusé mi complice à la fois. Bien que vous soyez tous les deux amis depuis la plus tendre enfance, votre amitié se voulait quelque particulière, sa solidité ne cessant de se renforcer au fur et à mesure des années qui se sont écoulées. Vous aviez connus des hauts et des bas, partageant énormément de choses, le futile comme l'intime, des pentes glissantes et constantes mais cet équilibre de votre lien n'a jamais vacillé pour autant. « Je sais que tu excelles dans ton domaine Jeremy et que je suis une désastre en cuisine mais les plats italiens pas moyen. ». Dis-tu tout en rigolant avant de venir prendre un sac des bras de ton camarade qui rumine entre ses dents. Ses critiques en cuisine et ses astuces dans le domaine étaient toujours d'un très grand secours, mais il ne supportait pas que tu le contredises. Le taquiner avait le don de te faire sourire, rien de bien méchant juste une habitude coutumière depuis longtemps. Tu ranges ton portable dans la poche arrière de ton jean, sortant les produits frais du sachet. « Je croyais que ce soir, tu étais occupé ? ». En le toisant brièvement, tu remarques combien son manque de loquacité ne cesse de prendre de la place. Cela aurait-il quelque chose à voir avec Carter ? La discrétion de Jem pour ce fameux garçon était aussi évidente qu'un nez au milieu d'une figure. « Tu devais voir Carter, c'est ça ? ». Ta voix n'avait rien de curieux ou même un ton moralisateur, c'est seulement l'inquiétude qui fait écho à tes propos. Jem te considère d'une expression quelque peu accusatrice, avant de secouer la tête un rire moqueur et léger. « Qu'est-ce que tu vas t'imaginer là ? ». Tu hausses les épaules, fronce les sourcils préférant rester dans le vague. Le sujet n'était pas nécessaire, pas encore. Ton cellulaire se met de nouveau à vibrer ce qui attire l'attention de ton ami qui ne se gêne pas le moins du monde de le prendre dans la poche arrière de ton jean. Il jette un coup d'oeil sur le message que tu venais de recevoir . « Tiens, tien. Et si tu m'exposais le problème avec ce fameux Connor ? ». Sarcastique ou ironique, tu le voyais venir avec ses gros sabots. Tu lui reprend vivement le portable des mains avant de le considérer d'une œillade noire, le rire de Jem faisant écho dans la pièce.